Galerie Claire Gastaud - 17/03>23/04

5 Rue Terrail 63000 Clermont-Ferrand

Entrée libre


Samuel ROUSSEAU (USA)

Sculptures vidéos

 

Vernissage le 17 mars, présence numérique de l'artiste

Après le succès de son exposition à la Fondation Salomon (Alex) en 2010, Samuel Rousseau expose actuellement au Museum of Hold and New Arts (MoNa) en Australie, à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Il participera à une exposition au musée Tinguely à Bâle au printemps 2011. Une exposition personnelle est également programmée en été 2012 au Creux de l’enfer à Thiers.

Il vit et travaille actuellement à New York.

 

Samuel Rousseau (1971) est un artiste éclectique. Plasticien, vidéaste, photographe, il cultive la pluridisciplinarité. Véritable touche-à-tout plein d’invention, ses pièces tiennent autant de la sculpture, de la vidéo, de l’installation. L’originalité de son travail repose sur sa façon de mêler les technologies les plus complexes à des objets issus d’une production populaire et rudimentaire.

 Samuel Rousseau utilise avec génie et finesse les nouvelles technologies : en véritable magicien, il intègre une image vidéo spécifique à des objets communs, leur donne vie et interroge ainsi avec humour et poésie l’absurdité de la condition humaine.

 

« On l’aura compris, il y a beaucoup d’humour, de poésie et de décalage dans les oeuvres de cet artiste, né à Marseille en 1971, qui vit et travaille à Grenoble depuis une vingtaine d’années. (…) Derrière une apparente fantaisie, se cachent les préoccupations récurrentes de Samuel Rousseau, liées au (contrat) social, à l’urbain, à la place et à la fragilité de l’individu, solitude et mal-être, au quotidien et à ses objets ou rebuts (pneus, blisters de médicaments). » H.F Debailleux, 2010

 

« Cet artiste inclassable instille dans les objets du quotidien la magie de l’irréel ou introduit un décalage de perception, Samuel Rousseau donne à rêver ou à réfléchir, mettant en place une nouvelle dimension qui déploie l’imaginaire et ouvre discrètement la voie vers une réflexion philosophique. Avec une grande économie de moyens, il crée des images fortes qui nous parlent autrement du monde, de la globalisation, du cycle du temps et des saisons. » V.de M. Connaissance des Arts, 2008

 

Du 17 mars au 23 avril 2011, Claire Gastaud expose une série d’oeuvres numériques : certaines pièces déjà cultes comme « Montagnes d’incertitudes », « Un peu d’éternité », « L’arbre et son ombre », « Vortex », « Fleur de kérosène » mais également les dernières oeuvres de la série « Chemical house » ainsi qu’une sculpture vidéo inédite « Trafik ».